Ottawa (Ontario) – L’expérience du gouvernement libéral en matière de drogues dures financées par les contribuables est un désastre. Aujourd’hui, des rapports ont confirmé ce que les conservateurs disent depuis des années, à savoir qu’une « partie importante » des drogues financées par les contribuables se retrouvent entre les mains du crime organisé et des trafiquants de drogue.
Bien que les conservateurs de gros bon sens ont sonné l’alarme, le gouvernement libéral radical et leur allié, le NPD, ont refusé d’écouter. La ministre libérale de la Santé mentale, Ya’ara Saks, a déclaré qu ‘ « il n’y a actuellement aucune preuve d’un détournement généralisé d’approvisionnement sûr ».
Mais ce rapport montre que le gouvernement libéral mentait. Selon ces rapports, un document secret de 38 pages du ministère de la Santé de la Colombie-Britannique a averti le gouvernement radical qu’ « une “partie significative” des opioïdes prescrits par les médecins et les pharmaciens en Colombie-Britannique sont détournés, et que les alternatives prescrites font l’objet d’un trafic à l’échelle provinciale, nationale et internationale ». En outre, la quantité d’opioïdes financés par les contribuables a été multipliée par 20 au cours des dernières années.
Ce n’est pas la première fois que le gouvernement libéral est averti des conséquences désastreuses de son programme de drogues dures financé par les contribuables. Le service de police de Vancouver a déclaré au printemps dernier qu’environ 50 % de toutes les saisies d’hydromorphone étaient détournées du programme de drogues dures des libéraux, financé par les contribuables.
Mais ce n’est pas seulement le cas en Colombie-Britannique. En Ontario, le service de police régional de Waterloo et le service de police régional de Niagara ont révélé que depuis 2019, les saisies d’hydromorphone avaient explosé de 1 090 % et 1 577 %, respectivement.
Depuis 2016, 49 000 Canadiens sont morts d’une surdose d’opioïdes, ce qui représente une augmentation de 200 % du nombre de décès annuels. Le gouvernement libéral a également permis au Canada de devenir un point chaud de la fabrication de drogues, avec « des saisies de fentanyl d’origine canadienne dans des pays comme les États-Unis et l’Australie. » Le gouvernement libéral doit enfin accepter que son expérience sur les drogues dures, financée par les contribuables, a échoué. Seuls les conservateurs de gros bon sens mettront fin à la distribution des drogues dures financées par les contribuables, imposeront des peines d’emprisonnement à vie obligatoires aux chefs de gangs liés au fentanyl et investiront dans le traitement et la réhabilitation afin de ramener nos proches à la maison, libérés de l’emprise de la drogue.