Ottawa (Ontario) – Larry Brock, ministre du Cabinet fantôme responsable de la Justice et procureur général du Canada, a fait la déclaration suivante :
« Les politiques d’arrestation et de remise en liberté insensées des libéraux mettent les Canadiens en danger. C’est ce qui ressort clairement d’un rapport du Service de police de Toronto, qui a révélé l’arrestation d’un criminel ayant 146 chefs d’accusation en suspens, qui a fait des dizaines de victimes, mais qui a quand même été libéré sous caution.
« Bien qu’il ait promis aux Canadiens de réformer ses dangereuses politiques d’arrestation et de remise en liberté, le gouvernement libéral continue de remettre des délinquants violents et récidivistes dans nos communautés. Savi Phillip, qui a été arrêté au début du mois dans le cadre d’une enquête pour fraude, a également été trouvé en possession d’une arme illégale mortelle. Mais avant cette arrestation, Savi Phillip avait de nombreux antécédents en matière de vol, de délit et d’agression.
« Phillip n’aurait jamais dû être autorisé à retourner dans nos rues. Pour reprendre les termes de l’Association de la police de Toronto, “combien de chances les récidivistes ont-ils ? Le refus obstiné du gouvernement libéral de se débarrasser de l’arrestation et de la remise en liberté rend ‘évident le fait que le gouvernement fédéral ne se préoccupe pas de votre sécurité’”.
« Après neuf ans, les politiques d’arrestation et de remise en liberté du gouvernement libéral ont été un désastre pour la sécurité publique du Canada. Depuis que les libéraux ont adopté les projets de loi C-75 et C-5, qui accordent une grande priorité à la libération des récidivistes violents et supprime la peine d’emprisonnement obligatoire pour certains crimes violents, une vague de criminalité s’est déclenchée dans tout le pays. Les crimes violents ont augmenté de 50 %, les crimes violents commis avec des armes à feu de 116 %, et 256 personnes ont été tuées en 2022 par un criminel qui était en liberté sous caution ou sous une autre forme de libération.
« L’Association de la police de Toronto a également dit de “demander à ceux qui se présentent pour être votre prochain premier ministre quel est leur plan pour empêcher les récidivistes de faire des victimes dans notre communauté”. Mais Mark Carney a refusé de dire qu’il mettrait fin à cette approche dangereuse des crimes violents. Et le ministre de la Justice libéral a même tenté de faire croire aux Canadiens que cette vague de criminalité n’existait que dans leur tête.
« Seuls les conservateurs de gros bon sens ont un plan pour ramener des rues sécuritaires pour les Canadiens en mettant fin au système de justice à portes tournantes et en mettant les récidivistes violents en prison, et non en liberté sous caution. »